Cette rubrique s’adresse aux offices de tourisme, comités départementaux et agences d’attractivité touristique. Découvrez des conseils concrets pour améliorer l’accessibilité, la performance et la durabilité de vos sites web, tout en offrant une expérience en ligne inclusive et engageante pour vos visiteurs.

Les sites publics et touristiques sont aujourd’hui confrontés à un triple défi : offrir une navigation fluide, garantir l’accessibilité à tous les utilisateurs et réduire l’empreinte environnementale du numérique. Dans un contexte où les citoyens comme les visiteurs attendent des services en ligne rapides, inclusifs et responsables, améliorer la performance web devient un levier stratégique

Les destinations touristiques doivent aujourd’hui concilier attractivité, sobriété numérique et rapidité d’accès à l’information. Avec l’essor du tourisme responsable et la montée des exigences environnementales, les sites web des offices de tourisme deviennent un maillon essentiel de la transition numérique durable. Cet article explore les leviers concrets pour allier performance et écologie sans compromettre l’expérience

Entre l’augmentation des services en ligne, les obligations de transparence et les usages numériques toujours plus intenses, les sites web des collectivités consomment de plus en plus d’énergie. Cette consommation, souvent sous-estimée, pèse à la fois sur l’empreinte environnementale du numérique public, sur les coûts d’hébergement et sur la performance globale des services en ligne.

Face à l’urgence climatique, le numérique n’échappe plus à la question de sa soutenabilité. Les collectivités territoriales et les destinations touristiques, en première ligne de la transformation digitale, ont désormais la responsabilité d’adopter des pratiques plus sobres. L’écoconception web apparaît alors comme une réponse concrète : concevoir des sites performants, accessibles et respectueux de l’environnement.

L’inclusion numérique s’impose aujourd’hui comme un levier d’attractivité incontournable pour les destinations touristiques. Au-delà de la conformité légale, elle traduit une volonté d’accueil universel, où chaque visiteur, quels que soient son âge, son handicap ou ses compétences numériques, peut découvrir, planifier et vivre une expérience fluide. L’accessibilité devient ainsi un moteur de compétitivité, d’innovation et

L’accessibilité numérique, longtemps reléguée au rang d’obligation technique, est aujourd’hui un pilier fondamental du numérique responsable et inclusif. Pour les collectivités territoriales, destinations touristiques et institutions publiques, elle incarne une opportunité unique d’améliorer la qualité du service rendu tout en répondant aux attentes croissantes des usagers. Allier accessibilité et UX (expérience utilisateur), c’est concevoir des

L’inclusion numérique est devenue un enjeu majeur pour les collectivités et les destinations touristiques. Elle ne se limite plus à la simple connexion ou à la mise à disposition de services en ligne : elle concerne la capacité de chaque citoyen, visiteur ou professionnel à utiliser le numérique dans des conditions équitables. Face à la

Garantir l’accessibilité numérique de son site web n’est plus une option, mais une obligation légale pour les collectivités et les destinations touristiques. Pourtant, beaucoup peinent à savoir par où commencer, surtout avec des budgets limités. Bonne nouvelle : il existe aujourd’hui des outils gratuits et open source pour auditer efficacement un site selon le RGAA,

Dans un contexte où les voyageurs recherchent des expériences authentiques, responsables et inclusives, l’accessibilité numérique devient un marqueur fort de qualité pour les destinations touristiques. Au-delà de l’obligation réglementaire, elle traduit la volonté d’un territoire de s’adresser à tous, sans exclusion. Mieux encore, elle renforce la confiance, l’image et la visibilité d’une destination dans un

Depuis la loi du 11 février 2005, les sites publics français doivent être accessibles à tous, y compris aux personnes en situation de handicap. Détaillée dans des décrets en 2009 puis généralisée en 2012, cette obligation franchit une nouvelle étape en 2026 avec son extension aux sites privés, à l’exception des très petites entreprises. Cette